Nous avons en France, parmi les gens très bien, ceux qui « haut placés », dans les conseils d’administration de la « haute » finance, dans les « grands » corps de l’Etat, proviennent de « grandes familles » avec de « grand noms » ; des qui tiennent le « haut du pavé » depuis des siècles.
Toute cette grandeur. Si loin au dessus de la fange. Ça donne le vertige.
Soit, mais il y a autre chose qui donne le vertige. Crénom, en 600 ou 700 ans, combien de vestes retournées, combien de bottes léchées, combien de culottes baissées ? Pour ne rien dire des servantes troussées, des secrétaires martyrisées, des subalternes consternés. (Sans doute, il doit bien y avoir des exceptions : je les cherche encore)
« Grandes » familles ? Comme dirait le petit sage vert si la question lui était posée : nul par la putasserie grand ne devient.
Note incidente : De ces générations entières de putes, sans doute faut-il déduire que la veulerie courtisane est héréditaire.
Se méfier des grands noms. Ils puent la syphilis.