Après nous, le déluge ?

« Dans un dialogue avec sa bienfaitrice et et disciple Sonin, Keizan, ayant fait référence à l’ordre cosmique tel qu’il apparaît au regard de la vérité conventionnelle selon laquelle les saisons se succèdent sur les branches, s’entend répondre qu’un arbre sans ombre (l’arbre dans sa réalité absolue) ne présente pas de « nœuds saisonniers ». Cette réalisation n’empêche pas les deux interlocuteurs, apparemment concernés par leur postérité, de laisser des instructions détaillées à leurs descendants ».

Bernard Faure, l’imaginaire du zen, l’univers mental d’un moine zen japonais – Paris, les Belles lettres 2011, collection Japon, 236p.

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