deux mots, absolument inutiles, d’explication sur ceci.
j’avais prévenu d’une humeur potache
il faut dire que « tout cela » commence à chercher son souffle
(et comble d’agacement, devoir à titre professionnel
récurer l’auge des Curiaces et pé-cho une laie dirimante
m’empêche de potager au soleil, d’écrire,
ou de me consacrer à d’autres projets au long cours,
obsessionnels mais compliqués, un chouïa)
et puis il y a le printemps…