sabbat / stabat & terra mater


paradoxe d’en rangeant un samedi sans lumière
retrouver les photons figés d’un sabbat enragé

photodégraphies des temps démasqués
de danses autour du feu,
d’un volcan, parmi les téphras,

bacchus et ménade,
grisantes sorcières et gris souriciers
dédiant à la terre nourricière, stabat mater dolorosa
leurs chants sybillins, leurs chants d’après

d’un invité, passager clandestin
en hommage et amical souvenir @ Hexen, Jos Volpe, Dominique Bertrand et Valéry Meynadier
et mes excuses de cette manie que j’ai d’une éternelle tentative
de ne vouloir attraper, flou, que ce qui s’efface aux limites de l’appareil
( si l’on me demande, l’aura, mais personne n’a à en être d’accord
et je n’ai nulle prétention d’y parvenir)

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