En parlant de parasites…

Mais que voilà une bonne question.

« M. Alain Suguenot attire l’attention de Mme la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes sur la dette des ressortissants étrangers et des membres des ambassades auprès de l’assistance publique-hôpitaux de Paris. Un récent rapport de la direction de la commission médicale d’établissement a établi à plus de 118,6 millions d’euros le montant de cette dette. Alors que depuis plusieurs décennies, des mesures sont prises pour combler le déficit de la sécurité sociale, et que certaines de ces mesures impactent les revenus des assurés français, ces sommes indues et le déficit en résultant sont indécents. Aussi lui demande-t-il ce qu’elle compte entreprendre pour s’assurer du règlement de ces arriérés. »

Bien sûr, une piste serait de ne pas délivrer de soins qui n’aient été réglés d’avance.

Évidemment, on serait intéressés d’avoir la liste des pays en question.

Assez comique, le point auquel un diplomate est, le plus souvent, une merde inférieure.

Il y aurait d’ailleurs lieu, à l’heure d’une facilité de communication totale au plus haut niveau des États pas moins qu’ailleurs, de se demander quelle est l’utilité réelle de la plupart des postes occupés par le corps diplomatique mondial – autre, bien sûr, que de fournir des planques douillettes en rétribution de services rendus et de léchouilles plaisantes. A noter, pour le jour où l’on voudra vraiment réduire les déficits publics.

 


Source : http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-89032QE.htm